À Genève, ils sont accueillis par une amie suissesse rencontrée une dizaine d’années auparavant en Syrie à l’occasion d’un reportage mené par la RTS. En arrivant ici, c’est le choc : habitué à travailler quatorze heures par jour, Georges doit regarder les journées passer, après s’être vu refuser un poste en raison de son âge. Il ne tient pas deux mois à se tourner les pouces. L’amie qui les héberge l’oriente alors vers Caritas Genève où il s’engage dans le bénévolat d’accompagnement, début de son aventure de fervent bénévole. Actuellement, deux personnes isolées bénéfi cient de sa présence, de son amitié et de son dévouement. Une fois par semaine, il leur rend visite et les aide lors de leurs sorties.